Born March 5, 1969, it is MC Solaar's birthday. After the important success of his second album Prose combat, MC Solaar composed two albums which he gave to his record company Polydor, for publication in three months as a double album. Going against the artist's choices, the label released the two records separately: the first was released in June 1997 (Paradisiaque), and the second in July 1998 (MC Solaar). Solaar then initiates legal proceedings against Polydor. In 1997, the industrial tribunal recognized that the Polydor label did not respect the clauses of the contract which bound it to MC Solaar by not publishing all the recordings produced on time. The court decision, confirmed by the Paris Court of Appeal in 2002, then by the Court of Cassation in 2004, prohibits Polydor (which has become the property of the Universal Music group) from continuing to operate the artist's first four albums, of which it still owns the intellectual property. Since then, these four albums are no longer published, neither on physical medium, nor for legal download, for lack of a commercial agreement between the artist and his former label.
Né le 5 mars 1969, c’est l’anniversaire de MC Solaar. Après l'important succès de son deuxième album Prose combat, MC Solaar compose deux albums qu'il donne à sa maison de disques Polydor, pour publication dans trois mois en double album. Contre les choix de l'artiste, le label sort les deux disques séparément: le premier sort en juin 1997 (Paradisiaque), et le second en juillet 1998 (MC Solaar). Solaar engage alors des poursuites judiciaires contre Polydor. En 1997, le tribunal du travail a reconnu que le label Polydor n'avait pas respecté les clauses du contrat qui le liaient à MC Solaar en ne publiant pas tous les enregistrements produits dans les délais. La décision de justice, confirmée par la Cour d'appel de Paris en 2002, puis par la Cour de cassation en 2004, interdit à Polydor (devenue propriété du groupe Universal Music) de continuer à exploiter les quatre premiers albums de l'artiste, dont il détient toujours la propriété intellectuelle. Depuis, ces quatre albums ne sont plus publiés, ni sur support physique, ni en téléchargement légal, faute d'accord commercial entre l'artiste et son ancienne étiquette de disques.
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